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Publié le 24/12/2024 Télécharger la version pdf




L’Agriculture de Conservation des Sols au service de la préservation des sols et de l’optimisation d’un élevage laitier.

Laurent Terrien est producteur de lait et cultive 70ha de blé, méteil, maïs et luzerne en Vendée. N’ayant recours ni aux fongicides ni aux insecticides, il présente son système en Agriculture de Conservation des Sols dans cet instant technique et parle de l’impact que le changement de pratiques a pu avoir sur le salissement, la gestion des ravageurs ou encore ses niveaux de production.

 



Quelques caractéristiques de ma ferme :

-    EARL Les Luctières. 

-    Installé depuis 1987 à Grosbreuil en Vendée ; en EARL depuis 1996 avec ma femme Catherine. 

-    Exploitation Bovin Lait et quelques cultures sur 70Ha aujourd’hui, 66Ha d’un seul tenant autour de la ferme et 4 ha à quelques kilomètres.

-    Type de sol : Limon Sableux sur schiste (66ha) et Limon profond (4ha)

-    Irrigation depuis 1999

-    Rotation : Blé -Couvert Mellifère (Tournesol Sarrasin Phacélie) -Méteils Fourrager-Maïs - Méteils fourrager - Maïs - Céréales avec Luzerne - Luzerne - Méteil Fourrager - Maïs - Méteils Fourrager – Maïs.  Les prairies temporaires entrent aussi en rotation avec l’implantation d’un méteil en automne avant un maïs le printemps suivant.

-    Semoir à disque Horsh Avatar de 3 mètres avec 4 trémies.

-    L’exploitation est traversée en plein centre par la Vertonne, elle se trouve donc sur des coteaux et des plateaux drainés.

Installation en ACS


Installé en 1987 avec mes parents puis ma femme, j’ai débuté les TCS en 1990 avec des déchaumeurs à dent avec pattes d’oie, pour toutes les cultures. J’ai arrêté le labour 1994. J’ai essayé une année de décompacter avec la dent Michel. J’ai vu que cela demandait beaucoup de puissance sans apporter un réel plus.
Depuis 2005 toute l’exploitation est conduite en ACS, cela s’est fait progressivement.
En réalité on faisait déjà du semis direct lorsque l’on semait des choux dans une prairie pour les vaches laitières en pâturage avec un semoir de chez Sulky. Mais à l'époque personne n’en avait pris conscience et était allé plus loin sur les autres cultures. 

J’ai commencé à pratiquer les couverts végétaux en TCS, je semais une céréale avant le maïs. J’avais remarqué que le sol se reprenait en masse en absence de couverture, et le couvert structurait le sol. Je semais des couverts végétaux sans prendre conscience que je pouvais les valoriser avec les animaux, malgré l’élevage. 
Ayant une sensibilité pour la nature et son fonctionnement et n’’étant pas intéressé par le matériel et la conduite des tracteurs, je me suis naturellement orienté vers le système ACS, en plus d’avoir observé l’aspect coûteux du matériel en TCS peu différent du labour et sans apporter de plus-value.

C’est lors de la création des groupes de travail que j’ai développé mes connaissances sur les réussites de l’ACS. D’abord avec la Chambre d’agriculture puis avec la création de l’APAD Centre Atlantique (2012). En 2005, dans ce premier groupe de travail nous étions deux agriculteurs en ACS stricte, les autres étaient en TCS ou labour. Tous les ans nous faisions une coupe de sol pour le suivi de l’état du sol. Ce groupe a permis de révéler que l’ACS était déjà, financièrement, le meilleur système devant le labour puis le TCS. Malheureusement ce rapport n’a pas été publié. S’en est suivi la création de l’APAD Centre Atlantique. Aussi tous les ans je suivais une formation avec Alfred Gassler. 

Sans le savoir j’avais des voisins qui pratiquaient déjà l’ACS depuis 2 ans, n’ayant pas nos parcelles côte à côte, c’est seulement lorsque j’ai eu besoin d’un semoir de semis direct que je me suis rendu compte que mes voisins suivaient les 3 piliers de l’ACS.

J’ai d’abord loué leur semoir, puis nous en avons acheté un en commun. Aujourd’hui j’ai mon propre semoir avec lequel je sème tout. Pour démarrer mon système j’ai pratiqué la succession de deux méteils, un méteil grain puis méteil fourrager ensuite. Le premier méteil limite les passages d’engins au printemps par le non emploi de fongicides et insecticides, permettant de préserver la structure du sol au printemps. Les semis d’automne peuvent ainsi se faire dans de bonnes conditions. 
J'ai, comme beaucoup, rencontré des difficultés avec la réussite des maïs, c’est l’irrigation qui m'a sauvé à l’époque face au manque de connaissances. Le travail sur les couverts et la gestion du trafic dans les parcelles a permis de sécuriser les implantations. 
Pour les semis de prairies j’ai opté pour des semis de printemps, je sème un premier méteil fourrager à l’automne que je récolte tôt, puis re-sème un méteil fourrager (10 kg d’avoine de printemps, 15 kg de trèfles annuels Incarnat, Miccheli, Squarosum et Perse et 8 kg de vesce de printemps) avec une prairie. Cela permet de faire une fauche, fin juin / début juillet. La prairie est ainsi démarrée. Cette succession m’est rendue possible grâce à l’irrigation. 
Ne souhaitant pas utiliser d’insecticides ni d’anti limaces, je ne sème pas mes prairies à l’automne. Comme les trèfles et luzernes sont très appétants pour les limaces, pour limiter le risque, je sème toujours dans du vert, puis j’applique un produit à base de glyphosate. 
Je ne suis pas très sensible au niveau de salissement de mes cultures, à l’automne je ne désherbe que les céréales.  



“Je n’utilise ni insecticides ni fongicides,
ne souhaitant pas toucher mon sol, je ne suis pas passé en bio”

“Notre terre, c’est la peau de la planète,
je ne vais pas aller la scarifier avec du travail de sol.”

En 2005, j’ai réalisé les premiers couverts d’été après céréales.  Je produits toujours des céréales pour être autonome en paille et pour allonger mes rotations. Ainsi je faisais pâturer mes couverts végétaux d’été par les vaches. Le mélange était composé d’avoine brésilienne, lentille fourragère et colza. Cela m’était permis grâce à l’irrigation C’était un bon moyen de faire du stock fourrager pour les 60 vaches laitières et 35 génisses. Ce qui a aussi permis de faire fonctionner le sol tout le temps.

Toutes les astuces de l’ACS je ne les avais pas au début, on les capte au fur et à mesure des années et des formations. 

Utilisation des déchets verts :


Ensuite est venue l’utilisation des déchets verts, comme j’avais tendance à ne pas avoir assez de paille et ne souhaitant pas brûler mes branches, c’est avec la société Valdéfis que j’ai commencé à les utiliser. J’ai ainsi mis en place une plateforme de collecte de déchets verts (paysagistes, voisins) à la ferme, puis je les fais broyer en plus de l’élagage des buissons de l’exploitation. 
J’ai commencé à en mettre dans les champs, et j’ai remarqué que ça stimulait fortement la vie du sol (vers de terre). J’ai donc commencé à zoner les apports sur les coins les plus humides des parcelles, les zones à fort trafic d’engins. Je me suis également aperçu que c’était une bonne solution pour convertir des parcelles en ACS lorsqu’on reprenait des terres, avec de forts apports de déchets verts, derrière des laboureurs. J’ai ainsi remis la vie dans le sol, en presque 1 an. Si on ne fait pas ça, c’est beaucoup plus long. De mon point de vue c’est très important dans le système. Les apports de déchets verts sont faits en fin d’automne. 

Après j’ai utilisé ces déchets verts comme litière, sous les génisses et dans les cases à veaux individuelles avec une grosse couche de 20 à 30 centimètres tassée au tracteur. J’ai remarqué que ça tenait bien dans le temps, sans trop se salir. J’ai également remarqué moins de problèmes d’infection du nombril, moins de diarrhées, un état sanitaire nettement supérieur.
Par contre je laisse chauffer le broyage, pendant minimum deux à trois semaines, pour éviter le développement de certaines espèces adventices dans les parcelles, et toxiques pour les animaux. 
Aujourd’hui, les déchets verts passent essentiellement en litière. Au champ je les utilise uniquement sur les zones compactées et abîmées, notamment par les conditions de récoltes humides de l’automne, à la quantité de 30t/ha. Par expérience, je sais que cela rétablit très bien la porosité par l’activité des microorganismes. 
Evidemment, il faut éviter les semoirs à dent avec l’emploi des déchets verts, qui favorisent la remontée de grosses branches ou restes de fil de fer, grillages... Afin de limiter les risques pour l’élevage et le matériel, je ne mets pas de déchets verts sur les parcelles où il y aura une fauche au printemps. 
J’ai remarqué qu’il y avait beaucoup moins de pâturin dans les zones ayant reçu un fort apport de déchets verts. 

Ma gestion de l’azote

Les taux de matières organiques dans mes sols sont aujourd’hui assez élevés. Je suis passé de 2,5% avant l’ACS à 7,5% pour taux les plus élevée (9 en surface et 4,5 dans le fond), les plus faibles sont à 5,5. Je cherche donc à valoriser ce “stock” d’azote, par l’intensification de la vie du sol, pour limiter les apports d’azote. J’ai suivi via l’APAD des formations sur les microorganismes efficaces et l’emploi de roches minérales. Mais cela fait déjà 3-4 ans que je limite l’azote minéral. Par exemple, sur céréales d’hiver je suis passé de 140 unités, à 120 unités, puis 90 et cette année 85 unités pour un rendement de 65 quintaux, voire plus. Le facteur limitant cette année a été les maladies foliaires, j’ai beaucoup perdu en potentiel de rendement à cause de ça, le potentiel était de 80 quintaux. 
En revanche j’accentue le chaulage sur mes parcelles, je me suis aperçu que je n'avais pas de problème d’acidification des sols, par contre j’avais un manque de calcium disponible. J’avais arrêté d’en mettre car mon pH ne bougeait plus. J’essaie de travailler avec un produit se rapprochant du lithothamne : broyats de coquillages et algues. Je réalise des apports de 400 - 500 kg/ha/an sur toute la surface. Sur les luzernes, je double même cet apport. 
Étant en système d’élevage avec apports de déchets verts, je suis en excès de potasse et de phosphore. 

Ma question aujourd’hui est : y’a-t-il une limite à augmenter les taux de matière organique dans les sols ?

Avec l’augmentation du taux de matières organiques et l’arrêt du travail du sol, j’ai remarqué une évolution de la flore adventice : lamier, véronique, RG résistants et brome stérile J’ai également de plus en plus de mal à maîtriser les graminées d’été. Dans l’ensemble les herbicides antigerminatifs sont moins efficaces, avec des levées de graminées d’été, tout le long du cycle de la culture. Les adventices les plus problématiques chez moi sont le brome stérile et le raygrass. 

Pour la gestion des ray-grass résistants, je peux partager cette petite expérience qui a été un succès chez moi : j’ai laissé épier le raygrass dans une féverole, que j’ai ensuite récolté (ensilage/enrubannage pour l’alimentation des génisses), j’ai attendu 15 jours qu’ils repoussent et j’ai appliqué 1.5 litres de glyphosate au semis du maïs. Je n’ai eu aucun ray grass dans mon maïs et ils n’ont pas redémarré à l’automne. 
Plus généralement, j’essaie d’utiliser la météo (comme une bonne gelée, ce qui est de plus en plus rare) ou un rouleau pour que la plante soit stressée et augmenter l’efficacité des herbicides. 

L’irrigation et l’ACS

J’irrigue les maïs et les prairies, le plus tôt possible, l’objectif étant de garder de la fraîcheur en surface, surtout sur les prairies. Il faut remplir la réserve utile, il faut que » ça coule au drain ». 
Sur prairie j’apporte 45 mm par passage, et si besoin 35 mm dès le semis des maïs, puis j’irrigue à nouveau au moment de la floraison. 

Là où il y’a du pâturage/fauche c’est plus facile de gérer le salissement et les limaces

Ma rotation est construite afin de permettre de faire pâturer 50 ha sur 3 ans.  
En élevage, nous avons besoin d’une production de fourrage toute l’année, alors autant implanter des espèces dont nous avons besoin qui seront pâturées ou ensilées. Ainsi notre sol est toujours couvert. Le pâturage permet de fertiliser avec de la matière fraîche qui stimule la vie du sol, limite les adventices, limaces et mulots. 

J’ai pu observer dans les parcelles avec pâturage l’absence de certaines adventices comme le séneçon ou le mouron.

Les engrais de ferme

Ayant une stabulation litière accumulée, j’ai beaucoup de fumiers. J’ai gardé ce système avec paille afin de ramener un maximum de matières au sol (j’achète la moitié de ma paille à l’extérieur, n’étant pas autonome). Peu de lisier, qui est de faible valeur, essentiellement composé des eaux de lavage de salle de traite. Ce lisier est aujourd’hui épandu grâce un système d’épandage sans tonne. Essentiellement sur prairie l’hiver, car il y a une meilleure portance sur ces parcelles. Et au printemps sur une parcelle en culture, ou avant un maïs. Ce n’est pas un produit intéressant pour moi. 

Tous les fumiers sont apportés de telle façon que la pluie puisse tomber dessus et limiter les pertes par volatilisation.  C’est en moyenne 20 tonnes en été et automne sur les couverts si de la pluie est annoncée ou si je peux irriguer ; 35 tonnes en hiver (février) avant maïs : ceci permet au fumier d’être décomposé et valorisable par le maïs. Aujourd’hui, je ne me soucie plus du tassement du sol. Pour éviter les passages dans les parcelles et la compaction, j’ai augmenté le nombre d’entrées et sorties, et j’ai maximum 7 tonnes de fumier dans mon épandeur. Par exemple, j'ai épandu tout l’hiver dernier, j’avais seulement la trace du crampon au sol, le sol a très bien supporté et évolué. J’ai eu un très beau maïs derrière. 
Si je ne peux pas épandre, je composte mon fumier en mettant mon épandeur à poste fixe, avec deux retournements en 8-10 jours.

Qualité fourragère des productions

Aujourd’hui, je ne constate pas différence du niveau de production des cultures fourragères par rapport à avant mon passage en ACS. J’aurais tendance à avoir un peu plus de minéraux dans mes fourrages L’UF et la digestibilité sont identiques. Par contre, je travaille avec des mélanges plus complexes qu’avant, il est plus difficile de connaître la réelle valeur des méteils par exemple. 
L’état sanitaire du troupeau est aujourd’hui excellent avec les méteils et luzerne. J’ai divisé mes frais vétérinaires par deux. J’ai également favorisé l’autonomie de la ferme, ce qui m’a amené à diminuer le cheptel tout en étant économiquement plus performant et en diminuant le temps de travail. Je suis aujourd’hui entre 9500 et 10500 Kg de lait par vache suivant la qualité du pâturage. Je n’achète que du correcteur azoté, toutes les céréales étant réutilisées par le cheptel.
Au niveau ration, en hiver je donne 10 kg de maïs ensilage + 7 kg de méteil + céréales et correcteur azoté.  Durant la saison du pâturage qui est d’environ 8 mois, je n’ajoute que 3 à 5 kg de maïs ensilage avec des céréales.

Agroforesterie


Cela a été créé il y a 12 ans pour obtenir un abri pour les animaux lors du pâturage, capter les excès d’eau (sur les parcelles non drainées), maximiser la biodiversité et obtenir des déchets verts. Jusqu'à présent je n’ai pas géré les racines par le passage d’une dent, seul le merisier semble le plus impactant. Je n’ai pas planté de frênes ni de chênes, ceux déjà présents dans les tours de champs sont trop impactant.
Pour autant je n’ai pas observé de baisse de production sur les cultures ou les prairies. Les chemins de pâturages se trouvent le long de ces bandes d’agroforesterie. Si mes parcelles n’étaient pas déjà drainées j’augmenterais la part d’agroforesterie sur la ferme. 

Améliorations envisagées

J’envisage des améliorations du semoir : mise en place d’un disque de houe, pour nettoyer la ligne de semis, mise en place d’un rouleau directement sur le semoir, avec une rampe de roues indépendantes à pneu. 
Concernant le semis du maïs, il s’agirait de revenir à un semis avec un semoir en ligne. Et semer à écartement réduit de 37.5 cm. D’expérience je sais que cela fonctionne très bien, d’un point de vue rendement et maîtrise du salissement de la parcelle. 

Le comité technique vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année !
Et vous donne rendez-vous en janvier 2025 pour de nouvelles thématiques innovantes afin de toujours mieux réussir l’ACS !

Article écrit par le comité technique de l’APAD.
Si vous souhaitez réagir ou poser des questions sur cet article, envoyer un mail à :
comite.technique.apad@gmail.com









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